mardi 13 octobre 2015

Phoebus mortel



On retrouve dans cette nouvelle Glen, le barman gay (vampire de surcroît) que l'on avait connu dans Cupidon mortel. En fait, on découvre ici les origines de la condition vampirique de Glen. Bien qu'ayant un petit bémol (dont je vous ferais pas un peu plus loin), j'ai beaucoup apprécié cette lecture. Pour être honnête, Glen n'est pas le personnage qui m'a le plus marqué dans Cupidon mortel. Il m'a toutefois donné envie de le relire (ce qui ne va donc pas tarder). Malgré tout, Glen est un personnage gentil, sensible. On a envie de le soutenir (particulièrement dans son deuil et dans son attitude vis à vis de son père). Quant à Killian, l'auteur à réussi à transposer son côté énigmatique. On se pose vraiment des questions quant à son côté lunatique.
Pour le style, je dois dire que l'auteur a, pour moi, réussi un exploit... me faire aimer les scènes érotiques du livres qui sont agréables et surtout, sans être vulgaire ou rédhibitoire.

Toutefois, et c'est mon seul bémol, j'ai trouvé la fin un peu longue à arriver et du coup, un peu rapide dans l'enchainement des évènements. Mais cela n'enlève rien au plaisir que j'ai eu à retrouver la plume de Thomas Andrew et qui, n'ayons pas peur des mots, m'aura agréablement fait patienter jusqu'à l'arrivée (imminente) du tome 2 de Drek.

En bref, bien que ca ne soit pas un coup de coeur comme pour Cupidon mortel, j'ai beaucoup apprécié cette lecture ainsi que son personnage principal. Thomas Andrew a le chic pour rendre l'amour mortel...lement irrésistible.



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