Editeur : J'ai lu
Nombre de pages : 287 pages
4e de couverture :
"Un coup de fil en pleine nuit augure rarement d'une bonne nouvelle. Quand c'est pour apprendre qu'un petit rigolo a décidé de faire mumuse avec un sort interdit depuis des lustres, je commence à prendre mon sens de l'humour. Et si, en plus, cette démonstration vise à éliminer un à un les chefs de clan officiant sur mon territoire, autant vous dire que je vois carrément rouge !
Avec tout cela, on voudrait que j'exerce avec un peu plus de sérieux mon rôle de reine des Vikaris. Pas de doute, les congés payés, c'est pas pour demain..."
Cela faisait 3 ans que l'on attentait ce nouvel opus. Donc autant vous dire que je l'ai dévoré (d'autant plus que la maison d'édition a fait diminuer la police de caractère et que, par conséquent, avec le même nombre de caractères que les précédents, il fait bien moins de pages)
C'est donc avec un pur bonheur que j'ai retrouvé Rebecca.
Dès les premières pages, on éclate de rire grâce à l'humour tout particulier de Rebecca et son entourage (on visualise tous très bien le chihuhua...)
Puis vient le temps des combats (où je reconnais avoir eu peur pour Rebecca).
Et enfin, le temps des révélations. Enfin presque... et oui car le sadisme de l'auteur la pousse à disperser quelques réponses à nos questions mais également des questions supplémentaires sans oublier, bien entendu 1 ou 2 surprises. Les Vikaris me sont apparues sous un jour nouveau et j'ai une réelle affection pour Anthéa et Madeleine.
En bref, un tome qui nous apporte beaucoup de plaisir mais également une pointe de frustration.
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